[Besoin d'un café] by LN & Logwan

Je ne me souviens plus si le forum était déjà fermé quand nous avons commencé cette nouvelle fanfic sur NCIS (évidement sur quoi d'autre !) alors je remets tout:


Fanfic NCIS

Persos : Gibbs/Tony/McGee/Ziva/Ducky/Abby/Shepard/Autres

Date: à partir du 27 décembre 2005

Genre : pas un en particulier

Titre : [Besoin d’un café]

Spoilers : après la mort de Kate

Résumé : un matin Gibbs reçoit un appel anonyme concernant un cadavre ; à partir de là les anomalies et évènements inexplicables vont se succéder.

Disclamer : les personnages ne nous appartiennent pas


Chapitre 1 (Logwan): Sale journée

Comme tous les matins depuis près de dix neuf ans déjà il franchit les portes de l’ascenseur et pressa le bouton du troisième étage. Il but une gorgée de café, le deuxième gobelet depuis el début de al journée malgré l’heure très matinale. Le weekend avait été un véritable fiasco : les pièces pour son bateau n’étaient pas arrivées et son amie avait annulé leur rendez-vous à la dernière minute ; il était d’une humeur fracassante.
Les portes s’ouvrirent et il se dirigea vers son bureau d’un pas nonchalant.
McGee : bonjour patron !
Pas de réponse
McGee : la directrice vous attend dans son bureau.
Il ne pouvait pas rester tranquille cinq minutes. Il monta donc jusqu’au bureau de Jenny Shepard et frappa. Est-ce qu’il s’agissait d’une affaire privée ou bien concernait elle le ncis ?
Shepard : bonjour Jethro, entre je suis pressée. Mais je tenais à te présenter Martin Sanders, il vient d’arriver dans l’agence et va intégrer ton équipe dès aujourd’hui !
Gibbs : il en est hors de question ! J’estime avoir mon mot à dire. Je choisis moi-même mes hommes, place le dans une autre équipe !
Shepard : cette décision n’est pas discutable agent spécial Gibbs**
Il sortit furieux : il ne manquait plus que ça. Lui rattacher l’officier David passait encore mais il n’avait pas besoin d’un probie dans les pattes !
A peine avait il atteint l’open space que son cellulaire sonna.
Gibbs : ici Gibbs.
Voix : nationale _____ kilomètre ____ vous trouverez le corps d’un marine.
Et on raccrocha. Ce n’était pas le premier coup de téléphone de ce type qu’il recevait mais ça ne présageait jamais rien de bon…
Gibbs : McGee appelez la police d’état, demandez leur d’aller vérifier qu’il y ait bien un corps sur la nationale ____ à la sortie de WDC et localisez le dernier appel reçu sur mon portable.
Ziva : un appel anonyme ?
Gibbs : il s’agit peut être d’un canular ou d’un piège _flash back Twilight. Où est passé Dinozzo ?
McGee : heu il il n’est pas encore arrivé patron…
Gibbs : je lui laisse cinq minutes où il est viré. Vous !
Sanders : moi monsieur ?
Gibbs (montrant le bureau derrière celui de McGee) installez vous là, je en veux pas vous entendre et vous voir traîner partout, contentez vous d’observer et de vous taire !
McGee : une patrouille est en route elle rappellera dès qu’elle y sera.

Il y avait des journées où il aurait préféré rester chez lui à construire son bateau. Ce matin, une irrésistible envie de tirer sur tout ce qui bougeait le démangeait.



Chapitre 2 (LN):

McGee : il y a bien un corps monsieur.
Gibbs : bon alors qu’est-ce que vous faites tous encore là ? à la voiture !
McGee : et pour Tony ?
Gibbs : les cinq minutes sont largement passées. Sanders, appelez Ducky qu’il nous rejoigne.
Sanders : tout de suite, Monsieur.

C’est évidement Gibbs qui prit le volant et ses trois passagers virent pour la centième fois leur vie défiler devant leurs yeux. C’est fou le nombre de virages et de voitures « lentes » qui pouvaient circuler sur cette route à dix heures du matin.
Ils arrivèrent enfin sur les lieux de la découverte du corps. Il se trouvait dans un fossé à seulement dix mètres de la route, mais n’était pas vraiment repérable par hasard à cause des arbres qui bordaient la route. La personne qui leur avait téléphoné le matin même pour leur signaler la présence du corps avait peu de chance d’être un simple passant.
Après un stationnement hasardeux, ils descendirent de voiture et se dirigèrent à l’endroit où était étendu le corps. Il était sur le ventre, de sorte que l’on ne voyait pas son visage avec des habits très à la mode, genre dragueur invétéré.

Gibbs : Ziva, prenez les mesures, Sanders, les photos, McGee, vous fouillez le corps.
Chacun se mit donc à sa tâche.
McGee : Patron, on a un problème.
Gibbs : QUOI ?!
McGee : il a des papiers d’identité sur lui et…
Gibbs : les siens ?
McGee : il faudrait retourner le corps mais…
Gibbs, lui arrachant des mains : donnez-moi ça !
Il baissa les yeux sur le papier qu’il tenait dans les mains et avant même de lire le nom inscrit dessus, il sut ce qui avait choqué McGee, l’homme sur la photo était Tony Dinozzo, son plus ancien subalterne. Le nom vint confirmer ce qu’il avait déjà comprit.
Gibbs : retournez moi ce corps tout de suite !
Le corps maintenant sur le dos possédait indéniablement les traits de Dinozzo.



Chapitre 3 (Logwan):

Soudain l’air lui manqua, le sang lui monta à la tête; comment était-ce possible ?
Il tenta de se calmer et de reprendre le contrôle de lui-même, de la situation.
Il observa le corps un long moment; il portait des traces de coups violents, le visage était couvert de sang et d’hématomes... l’agent détourna le regard de ce macabre spectacle et après quelques secondes de « récupération » il observa son équipe.
McGee et Ziva regardaient toujours leur coéquipier, tétanisés, Sanders était resté en arrière.
L’arrivée de Ducky et de son assistant Jimmy Palmer les ramena tous à la réalité, il fallait se remettre au travail, malgré les circonstances, malgré le choc.
L’expert médical hésita un instant à la vue du corps de l’agent, marmonna des paroles incompréhensibles avant de s’avancer vers son patron.

Ducky : Jethro c’est…
Gibbs : inacceptable ! Etant son supérieur j’avais le devoir de veiller sur lui, de le protéger. J’ai échoué, comme j’ai échoué pour Kate…
Ducky : tu te tortures inutilement. Est-ce que l’on sait ce qui s’est passé ?
Gibbs : pas encore, mais lorsque je découvrirais qui est le responsable…
Il ne termina pas sa phrase. Perdu dans ses pensées il s’imaginait déjà la rencontre avec le meurtrier de Tony ; il était jeune, trop jeune pour mourir.
McGee : patron, nous avons pris les photos et les mesures, nous avons fouillez partout mais nous n’avons rien trouvé.
Gibbs : un individu est venu ici et a battu et assassiné un de mes agents ! Il a forcement laissé des traces, trouvez les ! Une goutte de sang, un cheveu, un mégot de cigarette n’importe quoi !
Ducky : ne soit pas aussi dur avec lui Gibbs, Timothy est sous le choc comme nous tous.
Il ne répondit rien et retourna à la voiture. Son regard croisa à nouveau le corps immobile d’Anthony.
Il demanda aux trois agents de le rejoindre, prit place sur le siège du conducteur et démarra.


Chapitre 4 (LN):

Gibbs : accrochez-vous ! On va à son appartement, il y a forcément des traces quelque part d’une personne qui lui en voulait. On devrait être là-bas en 10 minutes.
McGee : vous êtes sûr patron ? C’est que c’est un peu loin d’ici quand même…
Gibbs : bien sûr que je suis sûr !!
McGee (se tassant dans son fauteuil devant l’œil noir de son patron) : oui bien sûr.

Onze minutes plus tard ils étaient devant ce qui avait été l’appartement de l’agent Anthony Dinozzo, les jambes un peu tremblantes mais de toute évidence, ils commençaient à s’y faire. Ils entrèrent grâce à un passe, allumèrent et commencèrent à chercher des éléments suspects, qui pourraient expliquer, ou tout au moins éclairer un peu le drame qui venait de se passer. Rien dans les papiers sur son bureau, dans son agenda (louches mais pas suspects en ce qui concerne cette affaire…) ni sur le répondeur.
En revanche, la télévision était allumée, et du bruit semblait venir de la salle de bain, comme de l’eau qui coule.

Ziva (chuchotant) : patron…
Gibbs (chuchotant aussi) : oui j’ai entendu. Rapprochons-nous de la source.
Les pistolets en main, ils se rapprochèrent donc de la porte de la salle de bain, doucement, sans faire le moindre bruit. Ils se mirent deux de chaque côté de la porte, Gibbs et Ziva d’un côté, McGee et Sanders de l’autre.
En faisant des signes, il fit comprendre à ses partenaires qu’il allait défoncer la porte pour prendre l’intrus par surprise. Ce qu’il fit.


Chapitre 5 :

Il n’eut besoin de frapper qu’une seule fois, un coup rapide, ferme. Quelque soit la personne qui se trouvait derrière cette porte, elle avait forcement un lien avec le meurtre _car il était persuadé que s’en était un, de son protégé. Et il lui fera dire tout ce qu’elle savait, peu importe comment. A la vue du corps il avait perdu un co-équipier, un ami, presque un fils, ce parce qu’il n’avait rien vu ! Dinozzo avait des ennuis et il n’avait rien vu, lui que ces hommes pensaient omniscient et omnipotent, il n’avait rien compris. Le ou les responsables allaient le payer, il le fallait, pour Tony, et pour lui-même, pour son ego.
Il s’était préparé à tout, prêt pour une arrestation musclée, prêt à tirer. Mais ce qu’il vit dans cette salle de bain était la dernière chose à laquelle il s’attendait. Il resta immobile, l’arme pointée sur sa cible, les jambes écartées, la bouche entre ouverte et le regard rempli d’incompréhension. Plus aucune pensée ne lui traversait l’esprit, il lui était impossible de réfléchir… Anthony Dinozzo, retrouvé mort il y à peine une heure se trouvait devant lui, torse nu, brosse à dent à la main, en parfaite santé… Quelque chose n’allait pas, il lui manquait forcement une pièce du puzzle. Il se tourna vers ses agents mais ils semblaient aussi interloqués que lui.

Tony : boss je sais que je suis à la bourre mais de là à débarquer de cette façon… Est-ce que ça signifie que je suis viré ? Parce que je peux tout t’expliquer ! A sept heures ce matin, je m’apprêtais à partir quand j’ai reçu un appel très étrange ! J’ai finalement raccroché et suis descendu à ma voiture, et figure toi qu’un taré m’a explosé mon pare-brise ! J’ai appelé à ton bureau et comme tu n’étais pas encore arrivé j’ai appelé le standard pour faire passer le message que je viendrais avec un peu de retard. Après ça j’ai raté le bus et je me suis dit que tant qu’à être en retard, autant rendre une douche et je… vous êtes surs que ça va ? Vous verriez vos têtes !

Ca n’allait pas ! Pour la énième fois Gibbs se dit que quelque chose n’allait pas, comment Dinozzo pouvait il ne pas être mort ? Il avait vu son corps de ses propres yeux… Sauf si, la personne devant lui n’était pas celle qu’elle prétendait être.

Chapitre 6 :

Que devait-il faire ? L’arrêter sur le champ et l’emmener au bureau pour l’interroger ou faire comme si de rien n’était pour voir sa réaction une fois devant le cadavre ? Il opta rapidement pour la deuxième solution.

Gibbs : Tony tu te prépares, je veux que tu sois près à nous accompagner au bureau dans cinq minutes.
Tony : mais patron…
Gibbs : c’est un ordre !

Cinq minutes plus tard ils étaient tous dans la voiture, même Tony qui râlait car il allait devoir prendre le bus pour rentrer chez lui.
Ils arrivèrent enfin devant le NCIS, mais au lieu de monter dans leurs bureaux, ils descendirent à la morgue.

Tony : pourquoi on va voir Ducky ? Je peux même pas prendre un café avant ?
Gibbs : non.
Tony (chuchotant à McGee) : lui non plus, il a pas eu son café ce matin ?

McGee qui avait du mal à comprendre où voulait en venir son patron ne préféra pas répondre.
Pendant ce temps Gibbs poussait la porte de la morgue.

Chapitre 7 :

Concentré sur l’autopsie qu’il pratiquait, le docteur Mallard ne remarqua pas immédiatement l’arrivée de ses collègues, et il ne releva la tête que lorsqu’il entendit la voix énergique de l’agent DiNozzo. Il lui fallu alors quelques secondes pour comprendre que ce n’était pas là le fruit de son imagination. Tony se trouvait bien face à lui…
Cependant il s’était tu et son visage était devenu livide à la vue du cadavre allongé sur la table.

Gibbs : Je vous laisse trente secondes pour m’expliquer ce qui s’est passé et me dire réellement qui vous êtes, ensuite je me ferait un plaisir de vous loger une balle de neuf millimètres dans le cœur !

DiNozzo : je… je ne comprend pas plus que toi je t’assure ! Ce type me ressemble voilà tout !
Gibbs : ce type, comme vous dîtes est l’un de mes agents, l’analyse sanguine le confirme, alors vous allez me dire ce que je veux savoir.

L’homme qui avait les traits de Tony semblait désorienté et complètement paniqué. Devant son silence le quinquagénaire sorti son arme et plaça le canon sur sa nuque.

McGee ne pouvait se décider si son patron appuierait sur la gâchette, Gibbs était capable de tout lorsqu’on s’en prenait à son équipe, mais s’il le tuait maintenant ils n’obtiendraient jamais de réponse ; il décida d’intervenir.

Gibbs resta immobile quelques secondes puis rangea son arme, le probie avait raison, il avait besoin d’explication et seul cet homme était capable de les lui fournir pour l’instant.

Gibbs : vous êtes en état d’arrestation pour meurtre et usurpation d’identité, vous avez le droit de garder le silence, si vous y refusez, tout ce que vous direz pourra être retenu devant un tribunal.

Chapitre 8 :

Gibbs : allez chercher des gardes et qu’ils l’emmènent dans une salle pour que je puisse mener l’interrogatoire.

Les gardes arrivèrent rapidement et conduisirent le Tony bien vivant loin des pulsions meurtrières de Gibbs.

En attendant le moment de l’interrogatoire, Tony était maintenant seul (avec une caméra de surveillance qui le fixait de son objectif et de son témoin rouge) dans une pièce et se demandait réellement ce qui était en train de lui arriver, peut-être était-ce un cauchemar, mais étrangement il n’y croyait pas. Il savait qui il était, qu’il était bien Tony DiNozzo, agent du NCIS et grand dragueur et surtout qu’il était bien vivant. Mais alors, qui pouvait être cette personne, morte, étendue sur un table de dissection à la morgue. Elle lui ressemblait en tout point, physiquement, et apparemment même génétiquement.
Il en était là de ses réflexions lorsque Gibbs entra.

Gibbs : asseyez-vous. Bien… qui êtes-vous ?
DiNozzo : Anthony DiNozzo, agent du NCIS.
Gibbs: non! Quelle est votre véritable identité?
DiNozzo : (sarcastiquement) c’est la seule dont je me souvienne.
Gibbs (essayant de ne pas trop montrer son exaspération) : bon passons à autre chose alors, on verra plus tard si ça vous reviens… pourquoi avoir tué le vrai DiNozzo ?
DiNozzo : QUOI ?! Je n’ai tué personne !! C’est vrai que c’est bizarre ce mec qui me ressemble mais je ne le connais pas ! Je n’ai rien à voir dans sa mort ni dans son apparition.
Gibbs : où étiez-vous hier soir entre 8 et 10h ?
DiNozzo : heu… certainement dans un bar en train de draguer… mais à vrai dire je ne me souviens plus trop.

Chapitre 9 :

De l’autre coté de la vitre sans teint pendant ce temps, les agents McGee et Sanders et l’officier David étaient pensifs, et les théories fusaient. Il faut dire qu’il y avait de quoi être sceptique, la science jusqu’à aujourd’hui avait toujours eu raison des criminels, et l’analyse sanguine confirmait que le corps retrouvé ce matin était bel et bien celui de leur coéquipier.

Ziva : combien de temps pensez que Gibbs va tenir avant de craquer ?
McGee : la question serait plutôt combien de temps ce type va pouvoir tenir si Gibbs craque ! Et si il disait la vérité ? Si il était réellement la personne qu’il prétend être ?
Ziva : mais qu’est ce que tu racontes ce n’est pas possible, Tony est… mort nous l’avons tous vu.
McGee : oui mais tu dois bien admettre que la ressemblance est frappante, le physique, la voix, même ce ton désinvolte.
Ziva : la technologie et les progrès dans le domaine de la chirurgie esthétique permettent bien des choses !
McGee : pas à ce point là ! Et quel intérêt aurait ce type à se faire passer pour Tony alors qu’il le sait mort !
Sanders : peut-être qu’il ne le savait pas, jusqu’à tout à l’heure ce qui expliquerait sa réaction à la vue du corps !
McGee : ou bien il s’agit de Tony et il a eu la réaction normale de quelqu’un qui découvre son cadavre ! Mais alors qui est la personne au sous sol ?

Et pendant qu’ils se replongeaient dans leurs réflexions, Gibbs commençait à s’agiter dans la salle voisine.






mais heu pourquoi personne ne met de réponse ?

Pour cette fois (et peut-être pour la suite) je prends la place d'LN qui a perdu son St Bernard dans une tempête de neige !




Chapitre 10 :

Gibbs (élevant la voix) : je vous laisse une dernière chance de me dire qui vous êtes, ensuite je m’arrangerai pour que vous regagnez le corps en bas, quelque soit votre responsabilité dans cette histoire, car vous en avez forcement une !
DiNozzo : d’accord ! Je me suis réveillé en retard ce matin, vous avez fait irruption chez moi avec un nouveau probie et une fois arrivés ici tu m’accuses du meurtre d’un type qui me ressemble au point d’avoir le même ADN ! Et…
Gibbs : c’est comme vous voulez je vous aurais donné votre chance.
Après ses paroles, il se leva et se dirigea le regard noir vers son interlocuteur.
DiNozzo : nan Gibbs attend, c’est tout ce que je sais je te le jure ! Demande moi n’importe quoi, s’il y a un quelconque moyen pour que tu me crois dis le moi je le ferai !
Mais le chef d’équipe ne prêtait pas attention à la plaidoirie du jeune homme et alors qu’il l’attrapait et le plaquait au sol sans ménagement, il fini par répondre : « savez vous à quoi on reconnaît un coupable ? » et en même temps il glissait ses mains autour de son cou.
L’intéressé était trop préoccupé à chercher une manière de se sortir de là pour répondre.
De toutes évidence Gibbs n’attendait pas véritablement de réponse et il lui chuchota presque : « se yeux avouent pour lui au moment de mourir ! ».
Le ton était froid et ne laissa aucune place au doute.





Et tous les commentaires sont les bien venus

C'est long mais ca a l'air interressant! ^^

Nonn je ne connais toujours pas NCIS !

J'ai bon espoir !



Sinon ça voulait aussi dire que tu n'as pas lu ?

oui aussi

Je me disais aussi